-
Par ombrella le 21 Mars 2015 à 10:28
Rêve ou réalité
***************
A l'orée de mes songes, je me promène,
Heureuse,je suis le chemin, qui me mène
Vers de nouveaux horizons, d’autres personnes,
Une autre destinée, dans mon coeur résonne.
Pourquoi, les rêves ne seraient-ils pas réels?
Pourquoi, ne pas se laisser embarquer,guider
Par de là mes idées et mes espoirs souhaités
Oublier la pluie pour les rayons du soleil
Faire vibrer ce que je souhaite entendre,
N'écouter que des musiques agréables,
Déguster les plaisirs, me laisser surprendre
Savourer chaque instant, c’est confortable
Rêves ou réalité, quel est le secret?
Celui d’un bonheur, de l’amour ou d’amitié,
Tout simplement, oser faire ce qui me plaît,
Aimer ,se réjouir, vivre sans trop penser… Graziella.Burgi(Extrait confessions intimes)............»
1 commentaire -
Par ombrella le 2 Février 2010 à 10:04
Un goût de bonheur
_"_"_"_"_"_"_"_"_"_.La vie est bonne par-dessus tous ; le raisonnement n’y fait rien. On n’est pas heureux par voyage, richesse, succès, plaisir. On est heureux parce qu’on est heureux. Le bonheur, c’est la saveur même de la vie. Comme la fraise à le goût de fraise, ainsi la vie a le goût de bonheur. Le soleil est bon ; la pluie est bonne ; tout bruit est musique. Voir, entendre, flairer, goûter, toucher, ce n’est qu’une suite de bonheurs. Même les peines, même les douleurs, même la fatigue, tout cela a une saveur de vie. Exister est bon, non pas meilleur qu’autre chose ; car exister est tout et ne pas exister n’est rien." Alain
2 commentaires -
Par ombrella le 16 Décembre 2009 à 09:20Je te l’ai dit pour les nuages
Je te l’ai dit pour l’arbre de la mer
Pour chaque vague pour les oiseaux dans les feuilles
Pour les cailloux du bruit
Pour les mains familières
Pour l’œil qui devient visage ou paysage
Et le sommeil lui rend le ciel de sa couleur
Pour toute la nuit bue
Pour la grille des routes
Pour la fenêtre ouverte pour un front découvert
Je te l’ai dit pour tes pensées pour tes paroles
Toute caresse toute confiance se survivent.
Je te l’ai dit pour les nuages
Poèmes de Eug&e>grave;ne Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard
votre commentaire -
Par ombrella le 21 Novembre 2009 à 16:08
L'amitié...
L'amitié est comme le refrain d'une chanson
Qui est en nous ,que sans cesse nous fredonnons ,
Car il nous aide sur le chemin cahoteux de la vie
A mieux vivre, en oubliant nos soucis.
L'amitié c'est l'amour en gage
Le partage de nos joies,un rayon de compassionAvec des êtres de tous les horizons
Unis pour le pire le meilleur et davantage
L'amitié sentiment noble , généreux
Offre cette facette altruiste de l'amour.
Ce don lumineux sans l'attente de retour.
Ce partage des moments heureux ou malheureux
L'amitié est magique dans son dévouementDans la bonté, la générosité,l'humanité
Etincelante dans l'émerveillement
Silencieuse ,sans artifice,abondante de vérité.
L'amitié est cette légère feuille qui s'envole
Qui revient toujours pour un nouveau printemps
Pour rejoindre ,en tournoyant une superbe étoile,Qui veille sur nous, sans cesse, ,dans le firmament.
L'amitié est cette fleur que nous cueillons.
Dont les couleurs balbutient des mots de tendresse,
Dont,les pétales chuchotent de douces promesses
Qui ennivrent nos coeurs de merveilleuses émotions.
G.B
votre commentaire -
Par ombrella le 14 Novembre 2009 à 15:02
Auguste Lacaussade — Poèmes et Paysages
En merLe ciel est pur, la vague est douce.
Ô diaphane, ô belle nuit !
Au souffle tiède qui le pousse
Notre vaisseau vogue sans bruit.Bleu cristal que nul vent ne plisse,
Le ciel est comme un lac dormant.
Sur le saphir la lune glisse,
Nacelle de nacre et d’argent.Au lent roulis qui nous balance,
L’équipage s’est endormi ;
Seul avec l’onde et le silence,
Seul, je veille et cause à demi.Ici, la brise dans la voile
A des soupirs pleins de douceur ;
Là-bas, luit une large étoile,
Qui me sourit comme une sœur.Laissant de vaporeux sillages
Dans leur course au-dessus des eaux,
Au bord du ciel de blancs nuages
Errent comme de blancs agneaux.Le cœur plein de volupté triste,
Les yeux perdus à l’horizon,
Je songe au doux saint Jean-Baptiste,
L’enfant à la blanche toison.Tout est repos, tout est mollesse :
Une lumineuse fraîcheur
M’enivre, me berce et me laisse
Des rêves d’ange et de blancheur.Je sens couler en tout mon être
Un ineffable apaisement :
Du monde où nous devons renaître
N’est-ce point un pressentiment ?Je voudrais prier pour répandre
Mon trop-plein de vague bonheur,
Mais ma voix se refuse à rendre
La paix aimante de mon cœur.Lune, nacelle de lumière,
Toi qui passes sur mon front nu,
Porte ma muette prière
Jusqu’au trône de l’Inconnu.Dis-lui que sur ces tièdes lames
Où vient se jouer ton rayon,
L’œil baigné de tes belles flammes,
J’ai vers toi murmuré son nom ;Dis-lui que dans mon sein qu’oppresse
Le poids de ta sérénité,
Une âme a frémi de tendresse
Devant ta pieuse clarté ;Dis-lui que j’aime et que j’aspire,
Dis-lui mon chaste enivrement ;
Dis… ce que l’homme ne peut dire
Ni ne peut taire entièrement !
6 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique