• Au jardin du temps qui passe, quand le jour s'enfuit lentement, avant que soleil ne trépasse, nymphe, nue sans ton voile blanc, tu te mires et te prélasses aux reflets gris du bel étang. Eclatante beauté qui inonde mon coeur de rayons de lumière et de nobles pensées, je t'ai contemplée dans ta douce candeur tant me plait à revoir tes courbes élancées, toi, belle de jour au parfum de la fleur, nymphe, venue à l'eau claire, se baigner. Romantique et profonde symbiose, Instants précieux et magiques à la fois lorsque s'offrent, dans la beauté des choses, la grâce et l'amour d'une belle venue là jeter au jardin un tapis de roses pour laisser à mes yeux la trace de ses pas. Sur le banc s'est posée la toile de la nuit qui, doucement descend, nimbée d'azur et d'étoiles et emporte mes désirs d'amant loin du bassin où se dévoile la nymphe nue au voile blanc.


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  • Depuis tout ce temps.. Que vous en entendez parler De la mystérieuse cachette des fées Essayez de l'imaginer cette forêt Où les fées aiment à se retrouver. Sanctuaire impénétrable qu'il paraît De grands arbres ça et là parsemés Sur le sol quelques feuilles échouées Craquant sous le poids de nos pieds. Au creux des arbres sont logées A l'abri des regards indiscrets D'innombrables nids de fées Débordants de poudre enchantée.


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