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Etre soi même Des gens uniques, de par le monde, Il en nait à chaque seconde. Chacun de nous porte en soi Une chose que les autres n'ont pas. Les défauts et les qualités Font un cocktail à mélanger pour obtenir ce petit goût Celui qui n'appartient qu'à nous. Les êtres humains sont si divers Qu'il y aura toujours sur la terre Quelqu'un qui trouvera en nous Ce qui lui manque par dessus tout Certains recherchent leurs contraires, D'autres, c'est leurs semblables qu'ils préfèrent Mais l'important c'est d'arriver A s'accepter tel que l'on est. Et chercher à s'améliorer n'est pas forcément tout changer Quand on commence à s'apprécier, L'entourage l'a vite remarqué Il essaie de savoir pourquoi On est tellement sur de soi. Et tous ces gens qu'on admirait, Finissent par nous envier, Car eux aussi ils cherchent ailleurs, Ceux qu'ils possèdent à l'intérieur.G.B
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Commentaires
Bonjour ombrella d'alain j'espére que tu va bien voiçi un petit poème pour toi merci de ton com aussi a bientôt te souhaite un bon week-end içi il fait 28 degrés sur la belgique région de saint ghislain bisoux doux merci.
""Regardes moi dans les yeux""
Quand tes yeux croisent un instant
Par la douce attraction
Mon regard qui n'a jamais été
Qu'en cette nuit plus troublé
La lune si douce au balcon
Les lumières de la ville et l'horizon
Qui ne m'a jamais semblée aussi proche
La pièce brillante, enfumée du feu qui nous rapproche
Et de ces soirées de fête où l'enfant
Quelques heures le dessus reprend
Et rire pour rien à tord ou à raison
Comme si plus jamais ne se représenterait l'occasion
Et jouer à des jeux enfantins
Quand l'âge qui nous sépare n'est plus rien
Que l'immaturité grandissante
Ne me fait que plus ressentir l'attirance insolente
Qui jusque là n'avait jamais été
Qu'une vague brume indécise et imprécise
Qui effraie de son intensité révoltante
De son acharnement qui chaque minute me hante
Et le mal en moi qui ne fait que renaître
Et la douleur amoureuse à laquelle je prendrai goût peut être
La maladie d'amour qui à toi me liait
Dont d'un éclair du ciel je guérissais
Aussi vite que je fus frappée par la foudre étrange
Mon ciel sans nuage ne sert à présent qu'à noircir ces pages blanches
Qui resteront sans nom
Peut être leurs donnerais-je le tien?
Comme si je le donnais à l'abandon
De ces mots qui ne seront bientôt plus rien
""Ce poème est écrit par ""ALAIN""